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« Un moment de théâtre suffisamment rare pour être souligné.

C’est... magistral et beau ! »

PATRICK ADLER - TATOUVU

24 heures de la 
vie d'une femme

D'après Stefan Zweig

Le récit d’une passion foudroyante où soudain

le destin d’un être bascule dans une aventure intense.

24 heures, une seule journée, toute une vie…

 Actualité 

 19 février > 23 mars 2025 / LUCERNAIRE

 Du mardi au samedi à 21h, dimanche à 17h30

 Succès Reprise LUCERNAIRE

 4 juin > 27 juillet 2025

 Du mercredi au samedi à 21h, dimanche à 17h30

Madame C, aristocrate écossaise, veuve et un peu désoeoeuvrée, tombe par hasard lors d’une soirée au casino de Monte-Carlo sur un joueur dont l’allure et l’expressivité du comportement la fascinent.
Cette étrange rencontre ne durera que vingt-quatre heures qui bouleverseront sa vie pendant des années… son récit lui permettra de se libérer enfifin de son passé.

Une femme qui décide de tout tenter pour sauver un homme perdu,
entraînée presque malgré elle dans un tourbillon de passion.

Adaptation et Interprétation Anne Martinet

Mise en scène Juan Crespillo

Lumières Stéphanie Daniel

Musique Jean-Sébastien Bach, Louane et Grand Corps Malade, Arvo Pärt, Luigi Tenco

Production Cie Le Phenix

Presse Catherine Guizard - La Strada & Cie

Diffusion Claire Ramiro - L'Avant-Scène productions

Durée 1h00 / Tout public à partir de 12 ans​​​

NOTE D'INTENTION D'ANNE MARTINET, L'ADAPTATRICE

24 heures de la vie d’une femme, voilà bien un titre qui raconte à la lettre notre travail, puisque nous suivons mot à mot, minute par minute, le déroulement chronologique des sentiments d’une femme et son bouleversement.

Cette écriture se prête particulièrement bien à être portée à la scène.

Être au niveau de l’écriture même, dans la densité des figures utilisées, dans le soin apporté à la rythmicité de la phrase, au son même des voyelles et des consonnes, chercher avec l’actrice d’être au plus près, au plus tendre, au plus physique du texte de Zweig.

Anne Martinet, avec joie et humilité, en cherchant à travers ce rôle à lui livrer
une part intime d’elle-même et en se mettant au service de l’auteur, est totalement touchante, délicate et honnête.

NOTE D'INTENTION DE JUAN CRESPILLO, LE METTEUR EN SCENE

STEFAN ZWEIG (1881-1942), L'AUTEUR
Né à Vienne en Autriche-Hongrie et mort au Brésil, écrivain, dramaturge, journaliste, influencé par Sigmund Freud et Montaigne, il a écrit des fameuses nouvelles dont 24 heures de la vie d’une femme, La confusion des sentiments, Le joueur d’échec, La peur, Lettre d’une inconnue...

J’ai souhaité faire une adaptation contemporaine et intemporelle de la merveilleuse nouvelle 24 heures de la vie d’une femme du grand auteur autrichien Stefan Zweig. Cet auteur, que j’aime particulièrement, sait si bien dépeindre l’âme humaine et la
force des sentiments à travers la beauté de son écriture que ce texte peut se porter à la scène.

J’ai essayé d’être au plus près du texte de Zweig en lui restant fidèle tout en le modernisant un peu, cherchant une fluidité pour le transformer en monologue et en préservant la progression du suspens et des sentiments éprouvés par cette femme. Comme comédienne, dire ces mots et traverser les émotions qui se dégagent de ce texte est un parcours intense à vivre, à ressentir, et à partager avec le public, dont je ne me lasse pas.

Nous avons ainsi et avec bonheur dépassé les 130 représentations.

REVUE DE PRESSE

Fabienne Pascaud -  TELERAMA TT

« Voilà une passionnante exploration de nos violences, émois et tourments sentimentaux. »

Retrouver l'intégrale de la critique >> 

 

Agnès Santi - LA TERRASSE

« Anne Martinet adapte et interprète la célèbre nouvelle de Stefan Zweig avec élégance et subtilité.

Une confidence intense mise en scène par Juan Crespillo.

Belle, élégante, subtile et entière, Anne Martinet porte les mots de cette aristocrate écossaise, veuve aisée sans grande occupation, qui raconte les vingt-heures qui ont transformé son destin. » / Retrouver l'intégralité de la critique >>

Patrick Adler - TATOUVU

« Anne Martinet, comédienne aussi précise que délicate, aussi émouvante dans son jeu que dans ses silences, très étudiés, qui ajoutent à la dramaturgie. La mise en scène de Juan Crespillo, subtile et délicate, comme le travail précis sur les lumières participent à ce moment de théâtre suffisamment rare pour être souligné. C'est... magistral et beau ! » / Retrouver l'intégralité de la critique >>

Kilian Orain - SCENEWEB

« 24 heures de la vie d’une femme porte avec grâce et acuité la sublime langue de Stefan Zweig (1881-1942), ici adaptée en monologue par Anne Martinet elle-même, également comédienne, donc, de ce seule-en-scène saisissant. Il faut saluer (et redire) son impeccable incarnation, tout comme le travail sur la lumière, qui révèle avec justesse les émotions de son personnage.   Dirigée par Juan Crespillo, l’actrice distille juste ce qu’il faut pour émouvoir et nous faire plonger tête la première dans cette histoire d’amour romanesque. ».  / Retrouver l'intégralité de la critique >>

Laurent Schteiner - SUR LES PLANCHES

« Ce seul en scène tout en douceur nous frappe en plein cœur et son impact en est d’autant plus grand. Un moment suspendu de grâce ! » / Retrouver l'intégralité de la critique >>

David Rofé-Sarfati - L'AUTRE SCENE

" Comme dans une mise en abyme, la comédienne s’autorise et affronte avec brio le grand texte de Zweig. Nous sommes captivés, émus, bouleversés parfois. Un moment de grâce ! » / Retrouver l'intégralité de la critique >>

Sylvie Boursier - UNE FAUTEUIL POUR L'ORCHESTRE

« Anne Martinet avec la complicité de Juan Crespillo a l’élégance Mitteleuropa de Madame C, sa fragilité et sa pudeur. Ce texte est une sonate. »

Frédérique Moujart - BLOG CULTURE SNES-FSU

« Un spectacle à aller voir pour Anne Martinet qui irradie et pour entendre la saveur de la langue de Stefan Zweig qui nous enchante toujours. »

Florence Douroux - LES TROIS COUPS

« Anne Martinet livre une prestation qui va au but : elle, lui, chacun joue sa vie à sa façon. Un spectacle d’une belle intensité. »

Christian Kazandjian -LA GRANDE PARADE

« Texte ciselé, mise en scène subtile, interprétation délicate : de la belle ouvrage qui, n’en doutons pas marquera la scène théâtrale. »

 Photos ©Carole Parodi

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